Cette anneé, le mois mondial Health Esteem est une question de vie ou de no mort

Cette anneé, le mois mondial Health Esteem est une question de vie ou de no mort

Le public a accueilli avec ferveur le concept de Health Esteem quand nous l’avons révélé lors de la conférence du Leadership en 2021.

Bien qu’elle soit à peine révolutionnaire, l’idée de s’aimer soi-même et de travailler pour atteindre ses objectifs de santé et de fitness va à l’encontre des secteurs de la remise en forme et des régimes ainsi que des opinions toxiques sur les réseaux sociaux qui reposent sur l’insatisfaction personnelle, et ce, dans le but de générer des ventes.

Mais quand tu te rends compte que tu peux vraiment te sentir bien tel que tu es tout en visant des résultats incroyables et transformateurs, l’idée est bel et bien révolutionnaire. Un rayon de soleil dans un monde assombri par le déclin continu de la santé : le résultat d’années de laisser-aller au niveau de l’alimentation et de la remise en forme.

Les faits sont plutôt effrayants

Les gens tombent davantage malades et l’arrivée de prescription de solutions pour leur permettre de perdre du poids sans modifier leur style de vie met encore plus en danger leur véritable bien-être.

La sédentarité et la mauvaise alimentation contribuent à la baisse de la qualité de vie aux États-Unis, selon le rapport de l’Indice de progrès social*. Mais ce qui est tout aussi alarmant, c’est la hausse des maladies dues au mode de vie, telles que le diabète de type 2, les maladies cardiaques, les AVC, l’arthrite, l’apnée du sommeil et certains cancers, qui mettent plus que jamais les personnes en danger.

Au cours des deux dernières décennies, les Américains ont pris du poids tellement vite que quasiment 42 % des adultes souffrent d’obésité. Le taux d’obésité augmente également chez les enfants et les adolescents. Presque 20 % des enfants âgés de 2 à 19 ans aux États-Unis souffrent ainsi d’obésité, selon les données 2017-2020 du NHANES (Enquête nationale sur la santé et la nutrition). Ce taux a d’ailleurs plus que triplé depuis le milieu des années 70.

Non seulement tu profites moins de la vie à cause de ça, mais même l’obésité modérée peut réduire ton espérance de vie de trois ans, selon une étude publiée par l’université d’Oxford**. Et à cause de l’obésité morbide, tu peux vivre dix ans de moins, soit autant que si tu passais ta vie entière à fumer ! Pour beaucoup, c’est vraiment une question de vie ou de mort.

Health Esteem peut tout changer

Le Mois mondial Health Esteem a pour objectif de sensibiliser sur l’importance de changer ses habitudes de mode de vie. Mais il veut également aider les gens partout dans le monde à découvrir à quel point ils peuvent améliorer leur vie, et ce, même grâce au moindre changement proactif.

Néanmoins, chaque année, le cortège des résolutions du Nouvel An est interrompu, parce que les gens ne sont plus motivés et reprennent leurs vieilles habitudes. L’année 2024 peut s’avérer différente.

D’après le magazine Forbes, la première résolution que les gens adopteront en 2024 sera l’amélioration de leur forme physique. C’est donc notre mission chez BODi de les aider à réussir en incluant Health Esteem dans leur démarche.

Une offre spéciale à l’occasion du Mois mondial Health Esteem

Nous t’accompagnons dans tes efforts avec pas moins de 120 programmes basés sur l’approche globale la plus efficace de la remise en forme et de l’alimentation, et avec l’offre la plus avantageuse que nous ayons proposée jusqu’à maintenant : dès aujourd’hui et pour une durée limitée, en achetant un abonnement d’un an à BODi, nous inclurons une deuxième année GRATUITE !

Le timing n’est pas dû au hasard. La hausse du nombre de médicaments pour maigrir fait de plus en plus la une mondiale : « Le Saint Graal de la perte de poids sans effort. » Mais nous devons bien lire entre les lignes... En effet, les conséquences de ces médicaments peuvent être dévastatrices pour la musculature des personnes si elles ne changent pas leur mode de vie.

La restriction calorique sans un soutien nutritionnel approprié et des exercices réguliers peut ainsi s’avérer contre-productive pour ta qualité de vie. Selon le NIH (l’Institut national de la santé), la musculation permet à tes os de rester en bonne santé et à ton corps de mieux digérer la nourriture, et ce, afin de prévenir le diabète et les maladies associées.

« Un entraînement musculaire régulier équivaut à un risque moindre de maladie cardiovasculaire et d’autres maladies chroniques », selon le docteur Joseph Ciccolo, chercheur dans le domaine de l’activité physique à l’Université de Columbia.

Mais le principal avantage de la musculation est qu’elle renforce tes cellules musculaires. « Cet avantage est vraiment propre à l’entraînement musculaire », d’après le docteur Roger Fielding, qui étudie les avantages de l’activité physique à l’Université Tufts.

Tu ne peux pas t’acheter des muscles. Tu dois les entraîner et les nourrir. Les experts recommandent aux enfants et aux adolescents de pratiquer une activité de renforcement musculaire au moins trois fois par semaine. Quant aux adultes, ils les incitent à entraîner leurs groupes musculaires majeurs au moins deux fois par semaine.

Il s’agit de la thématique du 2e Mois mondial Health Esteem de l’année : aider les gens à comprendre et à garder des habitudes saines, sans se tuer à la tâche pour autant.

Dig Deeper B&As

L’activité physique consiste à améliorer ta qualité de vie, pas à te punir. Il n’y a ni culpabilité, ni honte, ni reproche avec Health Esteem.

Cette solution aide les gens à se sentir bien tout au long de leur parcours. C’est la raison pour laquelle BODi propose cette offre inédite aux nouveaux abonnés annuels.

Le Mois mondial Health Esteem a pour objectif d’aider les gens à démarrer en janvier. Et avec cette offre spéciale, BODi aide les personnes à avancer afin qu’elles parviennent à des changements de mode vie extraordinaires pour se sentir bien sur le long terme.

Annonce de l’Indice de progrès social 2020 – See the World Differently

** L’obésité modérée diminue l’espérance de vie de quelques années | Université d’Oxford